Délire Akio/Tomoyo 3

Tomoyo attendait ses parents dans la limousine ils allaient se promener à l' occasion de son 16ème anniversaire.

Akio restait silencieux, ses parents étaient près de lui, ils les suivaient simplement, attendant de savoir où ils l'emmenaient.

la voiture alla jusqu'à une petite église isolée. Tomoyo était surprise déjà qu'on lui est mis une robe blanche rapelant les robes de marié et d'autre part qu'ils s'arrêtent devant une église.

Akio pénétra en silence dans l'église, une sueur froide lui coula dans le dos. Il n'aimait pas cela. Il fit demi-tour et tenta de sortir mais fut retenu par deux gardes.

Tomoyo fut escortée par deux garde et contrainte a rentrée dans l'église cela ne lui disait rien qui vaille lorsqu'elle vit un jeune homme et un prêtre elle voulu s'éclipser mais ne pu le faire.

Akio comprit aussitôt en voyant la jeune fille.

Espèce de traitres! alors c'était pour ça espèce de laches!!

Il insultait ouvertement ses parents, n'en ayant pas peur. Il se débattait mais les gardes le maintenait fermement.

Tomoyo aussi s'expliquait avec ses parents mais elle reçu une giffle qui l'envoya à terre.

Les gardes maintinrent Akio et le menèrent jusqu'à l'autel, jurant qu'ils lui payeraient cette traitrise.

Elle fut elle aussi emmener près du jeune homme et le prêtre commença à les marier sans leur consentement c'était un cauchemard

akio ne dit rien, essayant toujours de se libérer mais ne dit rien. Refusant de dire la moindre chose.

Ils furent unis sans avoir pu parlé on leur demanda de s'embrasser ce que Tomoyo refusa elle n'avait aucunement l'intention de se laisser faire. Une seconde giffle la fit chuter au sol puis les gardes la trainèrent dans la voiture pour la conduire dans sa nouvelle demeure suivis par les autres.

Akio la suivit. Il fut lui aussi emmené. Mais après avoir vu l'état dans lequel son "épouse" avait été mise, il s'avait d'hors et déjà ce qu'il allait faire en rentrant. Il n'y avait plus qu'à attendre.

Une fois à l'intérieur Tomoyo fut prise à part par son père et fut frappée sévèrement. Elle fut emmenée dans une chambre en sang. Une servante vint s'occuper d'elle.

Votre père est trop dur avec vous Princesse... il oublie que vous êtes une jeune fille...

Akio sortit de la voiture, suivit par ses parents et ceux de son épouse. Un domestique vint aussitôt le voir, lui rapportant l'état de la jeune fille puisqu'il était désormais le maitre de la demeure. Il sera les poings et se détourna, frappant violemment au visage le père de la jeune fille et regarda les adultes.

Je suis désormais le maître de cette demeure puisque marié et de ce fait nous sommes désormais libres! Sortez d'ici et ne remettez jamais les pieds dans cette demeure sinon je vous en ferais chasser!

Charlène s'occupait de penser les plaies de Tomoyo celle ci se laissait faire. Elle était allongée sur les draps de son lit entièrement nue pour pouvoir désinfecter les morsures du fouet. Malgré la douleur elle serrait les dents.

O moins il ne pourra plus vous toucher ainsi maintenant.... Vous êtes libres...

Ne crois pas ça Charlène... Mon père trouvera toujours moyen de me rappeler à l'ordre ... Il n'y a qu'à voir l'état dans lequel il m'a mis...

Akio claqua des doigts. Les domestiques arrivèrent et jetèrent littéralement hors du manoir les parents des deux personnes et refermèrent les portes. Il demanda à une jeune servante de voir si les soins étaient terminés et suffisant et s'il pouvait voir la jeune fille.

Charlène finit les soins de sa maîtresse et l'habilla d'une toge antique blanche, elle ressemblait aux statut antique représentant la déesse aphrodite et ses nymphes. Une fois vêtue elle se réallongea sur son lit. On prévint le jeune homme qu'il pouvait la voir.

Il remercia la jeune femme et entra en silence dans la chambre, refermant doucement la porte avant de s'approcher.

Comment vous sentez vous?

Tomoyo se retourna et fut surprise de voir son "époux" Elle le regarda quelques instant sans bouger puis baissant le visage elle se décida à répondre.

Je m'en remettrais... Ce n'est pas la première fois...

Ne baissez pas les yeux devant moi, vous n'avez pas à jouer les épouses soumises.

Il s'assit doucement près d'elle.

Je ne veux pas non plus que vous ayez peur de moi. En tout cas c'est la dernière fois qu'il vous touche, jamais il ne remettra les pieds ici.

Elle ne releva pas les yeux ce n'était pas pour jouer les épouses soumise mais juste pour qu'il ne voit pas ses larmes de rage d'être aussi faible.

Je ne joue pas à l'épouse soumise... et je nai pas peur de vous... mais je doute que mon père s'arrête là...

S'il ne s'arrête pas c'est au travers de ma lame qu'il finira. Un homme tel que lui ne mérite pas son rang si c'est pour toucher une femme.

Il ne me considère pas comme une femme mais comme un objet... il n'a aucun scrupule.

Justement, je n'en aurais aucun à le tuer si il ose paraitre devant moi. en tant que votre époux je me dois de vous protéger.

Elle esquissa un vague sourire.

Je ne voudrais pas qu'il s'en prenne à vous vous n'avez rien avoir là dedans. Ne vous sentez pas obligé de me protéger juste parce qu'on nous à marié de force...

Tomoyo regarda le jeune homme quelque instant et sourit tristement, ils étaient dans la même situation ou presque lui était tout de même libre elle non quoiqu'on en dise elle était une femme et devrait obéir à son époux.

l'avantage de se mariage c'est que je ne suis plus sous sa tutelle... Il n'à plus aucun droit sur moi enfin tactiquement mais le connaissant si je ne fait pas ce qu'il attend de moi il y aura des représailles...